Les films hors compétition

Les films hors compétition

Un simple accident

Iran, 2025, 102 minutes
Écrit et réalisé par Jafar Panahi

Avec Vahid Mobasseri, Maryam Afshari, Ebrahim Azizi, Hadis Pakbaten, Majid Panahi, Mohamad Ali Elyasmehr, Georges Hashemzadeh, Delmaz Najafi, Afssaneh Najmabadi

Iran, de nos jours. Un homme croise par hasard celui qu’il croit être son ancien tortionnaire. Mais face à ce père de famille qui nie farouchement avoir été son bourreau, le doute s’installe.

Festival de Cannes 2025, Palme d’Or
sélectionné aux Oscars 2025

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Zinat

Iran, 1994, 87 minutes
Réalisé par Ebrahim Mokhtari
Avec Sharin Alizadeh, Mehdi Fathi, Hassan Joharchi, Niku Kheradmand, Atefeh Razavi

Zinat, une jeune femme qui travaille dans un centre de santé d’une des zones rurales de l’Iran, est sur le point de se marier. La famille de son fiancé, Hamed, ne veut pas qu’elle continue à travailler après son mariage, et tous les efforts de Zinat pour convaincre Hamed que son travail n’affectera en rien leur vie de famille sont inutiles. La famille de Zinat y est aussi opposée par crainte d’offenser la famille d’Hamed. Finalement, Zinat accepte de quitter son travail. Elle se marie et s’oublie dans sa vie de famille. Les problèmes semblent résolus. Mais, sous une calme apparence, les conflits assombrissent la relation entre Zinat et son mari.

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Lire Lolita à Téhéran

Iran, 2025, 110 minutes
Réalisé par Eran Riklis
Avec Golshifteh Farahani : Azar Nafisi, Zar Amir Ebrahimi : Sanaz, Mina Kavani : Nassrin, Bahar Beihaghi : Mahshid, Isabella Nefar : Manna, Lara Wolf : Azin, Arash Marandi : Bijan, Shahbaz Noshir : le magicien, Arash Ashtiani : le gardien

Azar Nafisi (Golshifteh Farahani), professeure à l’université de Téhéran, réunit secrètement sept de ses étudiantes pour lire des classiques de la littérature occidentale interdits par le régime. Alors que les fondamentalistes sont au pouvoir, ces femmes se retrouvent, retirent leur voile et discutent de leurs espoirs, de leurs amours et de leur place dans une société de plus en plus oppressive. Pour elles, lire Lolita à Téhéran, c’est célébrer le pouvoir libérateur de la littérature.
D’après le roman autobiographique de Azar Nafisi.

Le programme de la 4e édition

Les lieux du festival

Billetterie